Premier soir à Kyoto

Publié le par Tenju

Arrivée à Kyoto, premier truc qu'on remarque : la chaleur. Oui, c'est un thème récurrent, mais... si vous êtes allés au Japon en août, vous comprenez sûrement. Pour les autres, c'est la même sensation que le hammam, mais au soleil. 35°C quand on a de la chance, apparemment, et le taux d'humidité, je sais pas, mais c'est toujours très élevé.

J'arrive avec ma valise, mes deux sacs, et mon parapluie, que j'ai d'ailleurs laissé quelque part là-bas à Kyoto. J'avais un plan, prévenue que l'hôtel,
K's House, était difficile à trouver. Bon, je vois qu'on peut passer par dessous, à travers les boutiques, sous la place des bus. Je me dis qu'au moins, j'aurai moins chaud. Sauf que quand je suis ressortie, j'ai mal situé le truc par rapport à la carte. Du coup... je pouvais toujours chercher l'hôtel. J'ai quand même tourné en rond avec ma valise sous le soleil pendant une heure... Premier truc que j'ai fait quand j'ai trouvé, une douche !

Après je suis montée sur mon lit pour lire un livre, tranquille. J'avais eu ma dose pour la journée. C'était dans un dortoir de 8 personnes, et un Canadien est entré, et on a discuté un peu. Après sa copine est arrivée, et ils sont sortis. Le soir, je suis allée dans la grande pièce commune et les Canadiens étaient juste à côté, ils discutaient avec un Américain. Vers 22h, ils ont décidé d'aller manger dehors, et ils m'ont demandé si je voulais venir avec eux.

Evidemment, j'ai dit oui !

A l'accueil, ils nous ont conseillé quelques endroits. On est allés manger dans un petit restaurant avec des tables basses, où on enlève les chaussures à l'entrée. On est assis sur des coussins. On tient assis en tailleur pendant... un quart d'heure. Après c'est de la torture. C'est aussi un bel exercice de gymnastique de bouger les jambes dans tous les sens pour trouver une position moins inconfortable. Même si c'est mission impossible.

Bref, le repas était délicieux, on a commandé plein plein plein de plats différents, et sinon ben j'ai surtout écouté, parce qu'en anglais, si j'arrive déjà à comprendre une conversation de trois personnes, je suis déjà contente. Je me contentais de répondre aux questions qu'on me posait. (^.^)

A côté de nous, il y avait un groupe de Japonais, et ils avaient pas le même menu que le nôtre, en anglais, et moins complet. Donc quand on voyait quelque chose sur leur table d'appétissant, l'Américain, qui se débrouillait bien en japonais, demandait la même chose.

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